Sur
initiative du Centre Autonome d’Eudes et de Renforcement de Capacité
pour le Développement au Togo (CADERT), cet atelier a réuni les cadres de l'administration
publique, des représentants de la société civile, du secteur privé et du
monde des médias.
S'agissant
du contenu du rapport, dans sa globalité au titre de l'année 2017,
indique que deux tiers des pays africains disposent des politiques et des
stratégies de STI, mais souffrent de la capacité à mettre en œuvre. Ce
rapport indique également que 91% des 44 pays africains étudiés
considèrent la formation comme une priorité très élevée dans les STI.
S'agissant des dépenses en recherche de développement, l'Afrique
subsaharienne reste en dessous de 1% du PIB.
D'après
Odilia Gnassingbé directrice du CADERT, vu les résultats de ce rapport,
il est primordial pour les États africains de prendre leurs responsabilités
face aux STI.
"Les
résultats de cette étude nous interpelle à plusieurs niveaux: d'une part,
il convient à nos états de prendre conscience que la STI constituent le
maillon marquant de la chaîne du système de développement que nous voulons
construire et d'autres part, commencer par corriger les indicateurs de
nos pays sur le plan international", a-t-elle insisté.
Mawuena
E.
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