UCJG/YMCA et WANEP-TOGO, pour marquer de la Journée de la Femme Africaine, célébrée tous les 31 juillet, ont organisé le samedi 11 août dernier à Lomé, une conférence publique autour du thème "Le combat de Winnie Mandela : un exemple pour la femme togolaise".
Cette conférence publique a connu la participation de
jeunes et femmes leaders des organisations de la société civile et religieuses.
Celles-ci ont été entretenues par Agbovi Vincent, Enseignant chercheur à
l'Université de Lomé, et conférencier du jour.
Cette initiative, en effet vise à attirer l'attention
de la jeunesse et des femmes leaders sur le rôle de l'ex-1ère dame d'Afrique du
Sud dans lutte contre l'apartheid.
"Nous avons initié
cette activité pour, tout d'abord, marquer la célébration de la femme africaine
célébrée tous les 31 juillet. La finalité, c'est de susciter un engagement de
ces jeunes et femmes leaders pour leur contribution au développement du Togo en
précisant que chacun à son niveau peut-être une valeur ajoutée pour le développement
du pays. Et ici nous mettons l'accent sur la participation de la femme. Donc
nous encourageons les femmes à continuer par contribuer au développement du
pays. Nous leur avons montré l'exemple de Winnie Mandela qui a réussi à braver
les obstacles pour contribuer au développement de son pays", a souligné Amedzenu-Noviekou Dado Nora, coordinatrice
de WANEP-TOGO.
Parlant de Winnie Mandela, elle a contribué largement
au développement de son pays et constitue désormais une référence pour d'autres
femmes.
"Cette femme, nous
ne pouvons manquer d'apprécier sa détermination à aller jusqu'au bout. Elle ne
s'est pas fiée à son statut de femme pour abandonner en cour de route. Il faut
reconnaître qu'au-delà de la détermination, elle s'est donnée une liberté dans
la tête, ce qui lui a permis d'aller au bout de son combat ", a témoigné le conférencier, Agbovi Vincent.
UCJG/YMCA et WANEP-TOGO ont initié cette rencontre
suite aux informations du rapport qui relève une faible participation de la
femme dans les prises de décision au Togo.
Esaïe EDOH
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