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Saluant la décision, les OSC ont promis de collaborer
et de soutenir le ministère de l’agriculture pour la mise en application
de cet arrêté.
D’après le porte-parole des acteurs de la société
civile togolaise, Sena Alouka, cette décision est salutaire car le Togo est l’un des pays
reconnus pour l’exportation des produits bio par l’Union Européenne mais il
s’avère important d’œuvrer pour l’opérationnalisation de cette décision sur
toute l’étendue du territoire nationale.
« Le
Togo se met résolument sur la voie bio à l’horizon 2030, donc tout ce qui va
être produit sera bio. Et l’idée est de voir avec le ministère de l’agriculture
comment mettre en application cet arrêté parce que les décisions peuvent être
prises, mais c’est la mise en application qui est le plus important. Et donc il
faut que nous puissions jouer notre partition entant qu’acteurs de la société
civile en trouvant des solutions alternatives pour remplacer le glyphosate,
et surtout accompagner nos agriculteurs sur le plan technique
avec les multiples expériences qui ont marché dont nous avons connaissance que
ce soit la gestion durable des terres, la pratique de l’agroécologie etc… », a-t-il souligné.
Au cours de cette rencontre d’autres sujets ont
été abordés. Il s’agit notamment des
grandes conclusions de la 46e session de la sécurité alimentaire qui s’est
tenue à Rome et qui a porté sur les rapports autour de l’agroécologie et la
nutrition.
La Rédaction
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