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D’après…, les rapports publiés au Togo souvent par la Ltdh,
ne répondent pas aux principes de professionnalisme, d’impartialité et
d’objectivité exigés par organisations de défense des droits de l’homme. Il
juge alors ces rapports de «les petits
esprits ».
A en
croire …, les auteurs de ces rapports falsifient, font usage de faux, tordent le cou
à la vérité et se cachent derrière des associations de défense des droits de
l’homme pour leurs viles besognes dont le motif est de noircir l’image du Togo.
« Les
petits esprits : nous les définissons comme une catégorie, une petite
minorité de Togolais qui souffre de voir le pays avancer, évoluer. Il n’est pas
difficile de distinguer dans cette catégorie deux familles : la première
est celle qui est consciente que le pays bouge mais feint de ne pas le
reconnaître, leurs lunettes noires les en empêchant. Car reconnaître ou
admettre les succès du Togo et des Togolais signifierait pour eux l’arrêt ou la
mort de leurs activités puisqu’ils n’auront plus de grains à moudre. Alors leur
moulin tournerait à vide.
Bien plus, les projecteurs devant lesquels ils jouent
aux sensationnels ne s’éteindraient à ce moment-là, les obligeant à quitter
petitement la scène sans gloire et surtout sans applaudissements du public qui
se serait rendu compte, entre-temps, de leurs supercheries. Ils sont
généralement aigres, jaloux et envieux parce que les succès du pays ne portent
pas leurs noms. La deuxième catégorie est facile à repérer. Ecoutez-les et vous
comprendrez. Elle a la comparaison
facile et au bout des lèvres. Pour elle, tous les pays du monde entier sont meilleurs
sauf le Togo, sauf leur propre pays où ils vivent pourtant bien, la plupart.
Pour eux tout ce qui est fait au Togo ou qui vient du Togo est nécessairement
mauvais. Faites-leur pourtant la démonstration que le pays change, se
transforme au quotidien, et vous serez étonné de leurs réactions : tout le
monde sera d’accord avec vous sauf eux bien entendu. Ils sont ainsi formatés et
ne voient que du mal partout. Donnez-leur le paradis ils les prendraient pour
l’enfer, car ils ont été de tout temps négatifs. Ils aiment s’écouter parler. Plutôt
à plaindre ils sont. Mais comme il faut un peu de tout pour faire un monde, ils
ont leur place au Togo certes, mais vivent dans une bulle où ils doivent se
battre contre l’ennui, la déprime et la dépression parce que pour eux rien ne
va. A ceux-là, c’est un médecin qu’il faut », écrit-il.
Pour lui, les
deux catégories, «ces dernières années ont été celles où leur intelligence et
leur sensibilité ont été le plus profondément déchirées, labourées par
d’indicibles souffrances et de grosses déceptions de voir le pays mettre le cap
et la voile pour un nouveau rivage. Ils sont chagrinés parce qu’incapables d’arrêter
les progrès du pays. Il n’y a qu’à les
voir et les entendre ; Ils sont porteurs d’un discours creux et toujours
le même, en discordance avec la réalité, servi à dessein pour noircir l’image
du Togo à l’extérieur. Leur discours a encore de la résonance à l’étranger
sommes toutes, ce qui leur permet d’avoir des subsides pour continuer leurs
activités de sabotage. Mais pour combien de temps encore ? »,
S’interroge-t-il.
Ces personnes de
mauvaise foi qui ont du mal à voir le pays évoluer, d’après … sont les mêmes
qui tiennent des discours sur les droits de l’homme et qui ont tendance à titiller facilement la
case des émotions. «Et pourtant les auteurs de ces tracs vivent tranquillement
dans le pays, vaquent librement à leurs activités, vont et viennent sans être
nullement inquiétés ; drôle de dictature je dirai. Et comme elle est
drôle, je conclus qu’au Togo il n’y a de dictature que dans la tête et l’esprit
de ce qui refuse de voir que le train a quitté la gare depuis des lustres,
poursuit son parcours avec ses passagers vers d’autres évolutions pendant que
le bateau des petits esprits suffoque. Pour eux, des bavures policières comme
on peut en dénombrer dans tous les pays sont synonymes ou symboles de
dictature. Allez comprendre » précise-t-il.
Il se demande
alors «pourquoi n’attaquent-ils et ne critiquent-ils plus vertement le Togo sur
ses performances économiques qui aujourd’hui sont réelles, sur la lutte contre
la précarité et la pauvreté qui donne des résultats tangibles ? Nous
répondons simplement: « En la matière, il n’y a plus ou pas de
matière pour les critiques, car on ne peut plus convaincre la communauté
internationale du contraire, car il y a bien longtemps qu’elle note
positivement le Togo pour ses efforts ».
«Adeptes de la
critique facile, les petits esprits font facile en parlant des droits de
l’homme, un fourre-tout, secteur d’ailleurs dans lequel le Togo sans complexe a
fait des bonds qu’on peut qualifier d’extraordinaires et qui s’appellent :
Ratification de divers instruments internationaux, coopération active et
agissante avec les mécanismes internationaux de droits de l’homme et soumission
régulière de rapports aux mécanismes onusiens et africains, élection du Togo au
conseil des droits de l’homme de l’ONU pour la période 2016-2018, adoption du
code de la presse et dépénalisation du délit de presse, création d’un mécanisme
national de prévention de la torture entre autre, instauration de la liberté
d’association, adoption et mise en application de textes relatifs notamment à
la liberté de réunion, de manifestation pacifique, la liberté syndicale etc…
Soyons honnêtes, le Togo d’aujourd’hui n’est pas une dictature », a-t-il
conclu.
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