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Ces
actions de l’AAEF-Togo et de l’ATOE participent à la chaîne d’humanité et de
solidarité lancée par les autorités universitaires qui prennent en charge 145
étudiants togolais et étrangers, exceptionnellement autorisés, eu égard à leur
situation de vulnérabilité, à rester en cités universitaires.
Autorisés
à rester dans les cités, depuis la fermeture de l’Université de Lomé (UL) le 20
mars dernier, les 145 étudiants sont tenus d’observer les mesures-barrières et
d’être soumis au principe de confinement total.
Selon
Kafui Kpégba, la 2ème vice-présidente de l’UL, la décision de garder ces
étudiants en cette période de pandémie à coronavirus est sujette au respect des
mesures barrières.
« Garder les
étudiants en cités en ce moment de pandémie de Covid-19 a été un grand souci
pour nous. Nous avons mis toutes les barrières possibles mais il fallait les
accompagner pour qu’ils les respectent. C’est là où, nous avons fait appel à
ces deux associations qui ont accepté désinfecter les cités pour être sûr qu’ils
sont protégés », a-t-elle
déclaré.
Pour
Germain Dodor, vice-président de l’AAEF, les travaux de décapage et de
désinfection des cités contribuent à la lutte contre la pandémie à coronavirus.
« Au niveau de l’association,
c’est notre contribution à la lutte contre la pandémie. Etant donné qu’il y a
des étudiants qui sont hébergés dans ce contexte, les risques de contamination
sont toujours pendants, alors nous avons pensé désinfecter la cité », a-t-il expliqué.
Rappelons
que les travaux de décapage et de désinfection des cités, en plus de l'approvisionnement
de 100 litres de solutions hydro-alcooliques au Centre des Œuvres
Universitaires de Lomé (COUL) au bénéfice des étudiants confinés vont coûter à
la trésorerie de l’AAEF, un million huit cent dix-neuf mille quatre cents
(1.819.400) FCFA.
Elom
KPOGLI (stagiaire)
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