![]() |
Premier
Produit d’exportation agricole au Togo, le coton joue un grand rôle en termes de création de richesses et
d’emplois et contribue énormément au développement.
Communément appelle l’or
blanc, le coton est apprécié pour son utilité et son intervention dans la
fabrication de différents produits. Au Togo, cette culture constitue le premier produit d’exportation
agricole.
Selon les sources de la
filière coton, une balle de coton, se compose de « fibres de coton retirées de leur graine au
cours de l’égrenage et emballées pour en faciliter la manutention,
l’entreposage et le transport ».
Ainsi
une balle de coton après égrenage, séchage et nettoyage pèse environ 218 kg.
A
quoi sert-il après
En
effet le coton qui a diverses utilités intervient dans la fabrication de
plusieurs choses.
Selon National Cotton Council of
America, une balle peut être utilisée dans la fabrication de « 313 600 billets de 100 dollars » ; avec une balle de coton, on peut produire « 780 chemises de nuit » ; avec une balle, on peut produire « 21960 mouchoirs » ; avec
une balle de coton, on peut produire « 6460 soutiens gorges » ; avec
une balle de coton, on peut produire « 733 culottes » ; avec
une balle de coton, on peut produire « 409 foulards » ;
avec une balle de coton, on peut produire, « 3085 couches » ; avec
une balle de coton, on peut produire « 2104 shorts de boxeurs » ;
avec une balle de coton, on peut produire « 1256 taies d’oreillers » ;
avec une balle de coton, on peut produire « 1217 t-shirts » ; avec une
balle de coton, on peut produire « 379 pull-overs » ; avec
une balle, on peut produire « 374 pantalons » ; avec
une balle, on peut produire « 249 jeans » ; avec une
balle, on peut produire « 249 draps ».
Une
source de richesse donc, pour les producteurs ainsi que les transformateurs.
Ainsi
au Togo, pour accroître sa productivité, différentes initiatives aux nombre
desquelles la mécanisation du secteur, l’introduction de nouvelles variétés
sont également engagée.
L’objectif
étant de parvenir à faire du secteur un véritable pôle de développement.
Caleb AKPONOU
Aucun commentaire
Enregistrer un commentaire