Deuxième
acteur brassicole à être installé au Togo, la Société Nouvelle des Boissons
(SNB), a lancé le 05 mai 2020, l’aînée de
ses boissons, la « Djama Pilsner ».
Cette bière blonde raffinée par des professionnels rompus à la tâche, et
disponible en format de 50 et 33 cl, fait déjà ses preuves sur le marché. C’est
donc une bière fortement appréciée, dont quelques consommateurs nous livrent
ici leurs impressions.
Arrivée à peine trois
semaines sur le marché togolais des
boissons, la Djama Pilsner, l’aînée de la SNB se voit largement plébiscitée par
les consommateurs qui ne tarissent pas d’éloges.
Pour Rhodes cet enseignant
de carrière, c’est une bière soigneusement raffinée qui n’a rien à envier à ce
qui était proposé par le concurrent. «Si je devrais comparer
Djama à une bière sur le marché, c’est la Pils. Elles ont pratiquement le même goût,
sauf que la nouvelle bière est légèrement plus forte avec un goût un peu plus
amère, plus raffiné et qui nous rappelle les bonnes bières allemandes ».
Même constat chez Joe le mécanicien qui
note : « Il
n’y a rien à dire, la boisson est bien préparée et moi je l’apprécie comme
telle. Il m’est difficile d’en faire une comparaison avec d’autres, parce que toutes
les bières se différencient par leur goût et c’est le cas de Djama ». Et plus loin d’ajouter,
« le taux d’alcool est d’environ
5,2% si je n’abuse pas. Moi je peux prendre cette boisson et revenir travailler
comme si rien n’était, d’ailleurs, ça ne me donne pas des migraines comme les autres ».
Abondant dans le même sens, Reine cette
étudiante en FASEG, qui vient quelques jours
seulement de découvrir la nouvelle boisson nous livre ici ses appréciations.
« J’ai
appris qu’une nouvelle brasserie a vu le jour au Togo. Au début j’ai pensé à
une filiale de la Brasserie de Lomé avant d’apprendre par les amis qu’il
s’agissait plutôt de la SNB. Mais sa nouvelle boisson, je l’ai découverte il y a seulement trois
jours à l’anniversaire de mon oncle et sans
vous mentir, je l’ai beaucoup apprécié».
En effet, s’ils sont nombreux à apprécier la
qualité et la saveur de la nouvelle Djama Pilsner, il y a aussi de ces
personnes qui pointent du doigt sa faible disponibilité sur le marché.
C’est le cas de Yves, ce magasinier de
profession, aujourd’hui devenu un fidèle consommateur, mais qui devra très vite
se confronter à la rareté du produit sur le marché.
« J’ai
pris Djama pour la première fois parce que mes amis m’en ont parlé. Mais depuis
que je suis devenu un habitué pour ne pas dire un de ses fidèles consommateurs,
je me rends compte maintenant de sa faible disponibilité chez les
détaillants ».
Pour Checou, ce gérant de Bar, la
commercialisation de Djama devient plus lucrative parce que la demande des
consommateurs devient plus forte.
« Il faut l’avouer, j’ai
commencé par commercialiser la Djama depuis quelques semaines parce que mes
clients en sollicitent. Mais le plus difficile,
c’est son premier
approvisionnement, où vous êtes obligés d’acheter et les boissons, et
les bouteilles et les casiers. Du coup, cela nous revient un peu plus
coûteux ».
Caleb AKPONOU
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